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Une découverte innatendue... partie 1:Retour aux couches.
Chapitre un:
J’étais sur la route du retour, je rentrais chez moi, quand tout à coup je ressentis une très forte envie de faire pipi. (Oh non! pourquoi n'ai-je rien senti venir?! Je me serais arrêté à la dernière aire d'autoroute!)J’essayais de me retenir jusqu'à la prochaine aire mais ma vessie ne voulue rien entendre.Cinq minutes et je senti les premières gouttes d'urine humidifier le fond de ma petite culotte, et au bout de 10 minutes de lutte acharné, ce fut l'inondation. Impossible de me retenir. BZZZZZT! Je me réveillais en sursaut, allongée dans un lit. Il me fallut une bonne minute avant de reconnaître la chambre dans laquelle je me trouvais. On était samedi et la veille, Magalie, une amie de la fac m'avait invitée à passer le week-end chez elle, et j'étais dans sa chambre d'amis. J'étendis un bras en arrière et glissant ma main sous l’oreiller, j'attrapais mon portable que je mettais toujours sur vibreur pour un réveil plus efficace, et j'arrêtais l'alarme.Ouf!C’était juste un cauchemar,me dis-je soulagé.(Pas sur.)
Comme tous les matins je commençais à m'étirer, lorsque je sentis quelque chose de bizarre. Comme une sensation d'humidité et de froid dans les draps et mes vêtements. Paniquée, je commençais à me redresser pour vérifier mes craintes au moment où la porte s'ouvrit.
C’était Magalie qui entrait avec un plateau qu'elle posa sur la table de nuit, tout en disant joyeusement:
- Room-service! Debout la belle au bois dormant! le ciel est bleu, les oiseaux chantent...tu as bien dormis? Ajouta-t-elle en ce dirigeant vers la fenêtre pour ouvrir les volets.
- Oui très bien, trop même, répondis-je embarrassée.
- Hé bien tant mieux, c'est que tu devais en avoir besoin.
- Mais non, c'est pas ça.- Que veux tu dire? dit-elle en ce retournant. Tu en fais une tête! t'es malade?
Elle s'approcha à hauteur du lit et vis l'étendue des dégâts. J'étais rouge de honte et au bord des larmes, ce que mon amie ne manqua pas de remarquer, et je baissais la tête, enfouissant mon visage dans mes mains, ne pouvant affronter son regard. Au bout d'une minute qui me parut une éternité, je sentie mon amie s’asseoir à coté de moi et me prendre dans ces bras. Elle me câlina en me caressant l'épaule pendant un temps que je ne pourrais déterminer avant de m'embrasser tendrement le front, puis elle me saisit doucement le menton pour m'obliger à la regarder.- Chuuuttt! fit-elle doucement.C’est pas grave.
- Je...Magalie posa doucement son index sur ma bouche.
- Vas donc te laver et t'habiller avant que le café ne refroidisse, me dit-elle avant de ce diriger vers la porte après avoir repris le plateau sur la table de nuit. Et ne t'en fais pas, ajoutât-elle sur le pas de la porte, ça peut arriver à tout le monde. Puis elle ajouta avec un clin d’œil,même à moi.Magalie avait raison, ça pouvait arriver à tout le monde, mais pourquoi moi, qui n'avais plus eu de rechute depuis tellement longtemps? Et que pouvais bien être la signification de ses trois derniers mots? Est-ce qu'elle mouille son lit pendant son sommeil? Si c'est le cas je n'ai jamais rien remarqué, et pourtant combien de fois ai-je bien pu dormir chez elle?
Me disant que j'aurais des réponses à toutes ces interrogations plus tard, je décidais d'aller me laver sans me poser plus de questions.
Une fois propre je revint dans ma chambre pour m'habiller, et je vis que Magalie avais déjà enlevé mes vêtements sale de la nuit passé et changé mes draps. Je ne saurais dire si mon amie a des problèmes nocturne, mais met avis qu'elle a une certaine habitude de cette situation. Quand je descendis à la cuisine, mon amie étais déjà en train de faire la vaisselle de2
son petit déjeuné.
- Ce que j'aimerais être aussi efficace et organisée que toi, et tant que j'y pense, merci pour le lit.
- Inutile de me remercier, voyons. T'avais déjà l'air tellement abattue par ce qu'il venait de t'arriver, j'allais pas t'imposer de changer les draps en plus.
- Je crois que je n'en aurais pas eu la force.
- C'est aussi ce que je me suis dis, répondis mon amie avec un sourire.
- Vu la vitesse à laquelle t'as changé les draps, on dirais que t'es une habituée des accidents nocturnes.
- Oui. on peut le dire.
- Comment ça?
Magalie me souris et me dis: - Allez passe à table que je te serves ton petit déj'.
Je fis ce qu'elle me dit me disant qu'après tout, ça n'étais pas si important que ça.
- Je me demande quand même, dis-je tandis que mon amie ce resservait un café après m'avoir servi le mien, pourquoi j'ai fait pipi au lit alors que je n'ai plus refait depuis mes sept ans. Et je suis vraiment désolé pour ton matelas.
- Mais arrête de t'en faire enfin! Oublis un peu ce matelas, de toutes façons il est plastifier, il risque rien. Mais si sa t’inquiète tant que ça je peux toujours te mettre des couches-culotte.
- Ha!ha! Très drôle! En attendant on fait quoi pour ce soir? Si je refaisais pipi en dormant...
- On refera une machine, me dit-elle en haussant les épaules.Et au pire, si ça t'ennuies tant que ça, il y a toujours la solution bébé, dis mon amie avec un sourire un tantinet moqueur.
- La solution bébé?
- Ben oui, les couches-culotte, répondit-elle en riant.
Venant de quelqu'un d'autre elle aurait reçus une gifle à coup sur, mais connaissant le sens de l'humour souvent discutable de Magalie je n'en fis cure, aussi entrais-je dans son jeu.
- Hey! C'est pas très sympa de frapper une personne à terre! lui dis-je en lui jetant un morceau de pain. Tu vas voir ce qu'il va te faire le bébé!3
- Ah oui? Quoi? Un gros popo pour accompagner son petit pipi?
- Tu vas voir!Et nous rîmes de bon cœur pendant cinq bonnes minutes. Le reste de la matinée ce passa joyeusement à faire les boutiques, (les puritaines diront que nous faisions du lèche-vitrine, mais on a le droit de rêver à dépenser l'argent qu'on a pas, non?) Au bout de deux heures d'essayage de vêtements en tous genres, l'incident du matin était oublié.
Sur les coups de treize heures nous décidâmes d'aller dans un restaurent Italien où nous mangeâmes à notre faim.
Je pris des linguines à la sauce forestière et mon amie, quand à elle, pris des fettuccine sauce Alfredo, le tout arrosé d'un excellant chianti. L'après-midi ce déroula entre séances de ciné et terrasses de cafés, puis nous rentrâmes vers 20h00. Magalie prépara deux plateaux froids que nous mangeâmes devant un d.v.d et nous nous couchâmes vers 23h00Le lendemain:
- Debout là dedans! Il est déjà 10h30.
- Mmmh...(Magalie, la spécialiste des réveils en fanfare), me dis-je avant de sentir mon lit étrangement froid alors que Magalie ouvrais les volets, ce qui me réveillas net...
- Oh non! Fis-je, ce qui fit Magalie ce tourner vers moi, interrogative.
- Qu'y a-t-il? demanda-t-elle. Ah. Inutile de répondre, tes yeux m'en disent suffisamment, dis mon amie en s’asseyant à mes cotés.
- Je...
- C'est pas grave,me rassuras-t-elle en me prenant dans ses bras.Puis, elle m'embrassa tendrement la joue en me disant: - déshabilles toi et vas te laver, ma chérie.Tu vas avoir froid.Deux nuits! Déjà deux nuits que je refaisais pipi au lit comme une gamine! Mais que m'arrivait-il?! J'avais tellement honte que, une fois de plus, j'étais au bord des larmes. Alors, sans trop y penser, je suivis les conseils de mon amie.
Une fois de plus lorsque je retournais dans ma chambre pour m'habiller, Magalie avais déjà changé les draps. Je la rejoignis dans la cuisine pour prendre le petit-déj'.Ça va? Me demanda-t-elle en me voyant.
- oui, répondis-je sans conviction.4
- C'est pas la très grande forme on dirais. C'est cette histoire de pipi au lit
qui te mine?
- Je ne comprends pas ce qui m'arrive. Je n’avais pas refait au moins depuis mes sept ans.
- Écoute. Je comprend que sa puisse t'inquiéter mais, ça ce trouve c'est peut-être rien du tout.- Je ne vois pas ce qu'il te faut!? Lui répondis-je effarée. Je suis étudiante en droit économique et à vingt-deux ans, je me remets à faire pipi au lit et pour toi c'est rien du tout?
- J'ai dis peut-être...écoute. Ce que j'ai voulue dire, c'est que c'est peut-être pas la peine de trop t'inquiéter avant d'avoir vu un médecin. Alors dés demain tu prends rendez-vous avec une gynéco.
- Pardon...tu dois avoir raison. M’excusais-je de m'être emportée.
- Non je comprends, c'est plutôt à moi de m'excuser. Tu sais, j'ai été maladroite. Moi je vie ça de l’extérieur et sa me permet de positiver plus facilement mais,pour être franche, je crois qu'à ta place je paniquerais aussi.
- Je pense que je ferais mieux de rentrer chez moi ce soir.
- Pourquoi? ça serait dommage, je voulais te proposer de passer les vacances ici.
- C'est gentil mais sois réaliste, tu ne vas pas faire des lessives tous les jours, ça va vite devenir contraignant pour toi à la longue.
- Bah! Fit mon amie. Ni plus ni moins qu'hier et qu'aujourd'hui, t'en fais donc pas pour ça, va. Et puis je connaît que trop bien ce que tu vis en ce moment, l'ayant moi même vécue.
Alors j'ai l'habitude, comme tu me l'as toi même si bien fait remarqué hier matin.
- Comment ça? Demandais-je étonnée.
- Et bien...je ne t'en ai jamais parlé parce que d'une part, tu n'avais pas besoins de le savoir et que, d'autre part je dois avouer que j'avais un peu peur que tu te moques, mais...
Surtout ne le prends pas mal, vu ta situation actuelle, je pense que je ne craint plus rien à tout te dire.
Voila. Il y a encore quelques années, jusqu'à ce que j'emménage ici pour me rapprocher de la fac, je mouillais mes draps toutes les nuits.
- Donc, dis-je, tu as arrêté de faire pipi au lit à dix-neuf ans. C'est ça?5
- Plus ou moins, répondit Magalie tout à coup très gênée.
- Comment ça, plus ou moins? Demandais-je, ne comprenant pas où elle voulait en venir.
- Ben, en fait c'est que...bafouillas-t-elle visiblement de plus en plus nerveuse. Le mieux c'est peut-être encore que je te montre, sinon tu risques de croire que je me moque de toi.
Brusquement, mon amie ce leva et quitta la cuisine pour ce diriger vers sa chambre. Je me levais à mon tour pour la suivre.
Arrivé dans sa chambre elle me dis:
- Tu te souviens de ce que je t'ai dis hier matin en quittant ta chambre?
- Oui. Que sa pouvait arriver à tout le monde, même à toi. D'ailleurs sur le moment j'avais pas trop compris ce que tu voulais dire, dis-je en souriant.
- Ouvre l'armoire qui est là, me dit-elle en me désignant un coin de la chambre.Je me dirigeais vers la petite armoire qu'elle me désignait et fit ce qu'elle me dit. J'ouvris la double porte du meuble et là, à mon grand étonnement, je vis sur trois étagères des piles et des piles de couches-culottes pour adulte! Ne laissant assez de place sur chaque supports que pour quelques paquets de lingettes affichant:lingettes pour incontinence,des pots de talc et de crèmes anti irritations.
- Quand j'ai emménagé ici, dit-elle, je me suis dis qu'avec les cours j'aurais autre chose à faire que de laver mes draps tous les jours, et j'avais décidé qu'il était temps que j'arrête de faire pipi au lit. Écoute! j'ai tout essayé mais rien n'y faisais! Les couches-culotte étaient mon dernier recours ! Je t'en supplie Laura! Implora mon amie tandis que je refermais l'armoire. Même mes parents ne sont pas au courent! N’en parle à personne! Continua-t-elle alors que je me retournais vers elle. Sinon je...! Je...!Pour la première fois depuis que je connaissais mon amie, je la voyais nerveusement sur le point de craquer. Cette vision me perturba au plus haut point, elle d'habitude si forte. Pendant quelques secondes, je fus comme paralysée et incapable de penser.
- Oh Mag...fis-je en la prenant dans mes bras. Ton secret sera bien gardé.
Magalie mit bien deux bonnes minutes à se calmer, puis nous redescendîmes à la cuisine.
- Alors, qu'est-ce qu'on fait aujourd’hui? demandais-je à mon amie pour changer de sujet.6
- J'avais pensé louer des d.v.d et regarder des films en nous goinfrant de
glaces et de pâtisseries.
- Eh ben! Dis-je en riant, alléchant comme programme, mais pas très diététique.
- On aura qu'à aller au vidéoclub en courant. Et te parler de mon problème tout à l'heure m'a un peu plomber le moral, et moi quand j'ai pas le moral faut que je mange glaces et gâteaux.
- La bonne excuse, dis-je en riant de plus belle.On vas louer que des films comique alors.
- Ouais. Et on pissera de rire.
- Bas! ça sa fait rien, pour ça t'as ce qu'il faut.
- Ouille!!! Touché. Fit Magalie en faisant semblant de tomber, riant à son tour.L'après midi ce passa donc ainsi, à regarder des d.v.d devant les-quel nous rîmes beaucoup en mangeant de la glace et un certain nombre de pâtisseries. Le soir venu, nous décidâmes de commander un repas végétarien assez léger et comme la veille, nous nous couchâmes vers 23h00. Arrivée en haut de l’escalier, je me tournais vers mon amie pour lui demander:
- Magalie, dis moi tu peux...? Je ne réussis pas à finir ma question tan j'avais honte, mais Magalie compris de quoi il s’agissait et me dis gentiment de la suivre.
Elle me fit entrer dans sa chambre et ce dirigea vers son armoire d'où elle sortis deux couches-culotte.
- Tu sauras la mettre? Me demanda-t-elle.
- Euh...dis-je en baissant la tête et en rougissant légèrement.Magalie me tira doucement jusqu'à son lit, puis me déshabilla entièrement avant de me faire allonger, Elle me glissa d'abord une alèse sous les fesses puis me fit une toilette rapide avec une lingette, puis elle m'étala une noisette de crème sur le sexe, les fesses et dans les pliures de l'entre-jambe. Cela me donna un frisson de plaisir que je ne saurait expliquer. Ensuite, après s'être essuyé les mains, elle me demanda une dernière fois de soulever les fesses à fin d'y glisser la couche-culotte. Elle me talqua ensuite généreusement puis rabattis le devant de la couche sur mon sexe poudré avant d'enserrer mes anches à l’intérieur en positionnant les quatre adhésifs sur le plastique de cette prison de ouate.
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- Alors, c'est comment de ce faire langer par quelqu'un? Me demanda mon amie, une fois que je fus relevée.
- Euh, très agréable, répondis-je timidement en rougissant, ce qui amusa Magalie.
- J'imagine, dit-elle. Tiens, j'ai une idée, si on dormait ensemble cette nuit?
- o.k pourquoi pas? Mais penses bien à te langer avant de te mettre au lit, j'ai pas très envie de me réveiller dans des draps mouillé demain, dis-je en riant.
- Tu veux que je te rappel qui viens de ce faire langer comme un nourrisson par mes soins?Rétorqua mon amie en riant à son tour.
- bah, ça va hein. Non mais, dis-je en faisant semblant d'être vexée.
Le temps pour mon amie de ce langer à son tour et nous nous couchâmes vers 23h30Le lendemain:
Lorsque j'ouvris les yeux au petit matin je ne reconnue pas tout de suite la chambre et le lit dans lesquels j'étais. Il me fallut une bonne minute avant de me rappeler que j'avais dormis avec mon amie la nuit passé. Je tendis la main comme à mon habitude, pour attraper mon portable afin de regarder l'heure. Dix heures moins dix.La porte s'ouvrit presque aussitôt:
- Coucou ma belle, t'as bien dormis? Me demanda Magalie en entrant, toute souriante.
- Super bien, merci.
- Tant mieux.J'étais contente car cette nuit le lit était resté sec, mais je déchantais vite lorsqu'en commençant à me redresser pour m'étirer plus facilement avant de me lever, je sentis entre mes cuisses le plastique froid de la couche-culotte que j'avais complètement oublié, et la ouate mouillée sous mes fesses et contre mon sexe, qui avais doublé de volume pendant la nuit. Je devais afficher une mine sacrément dépitée car mon amie s'aperçut de ma déception et dit avec un sourire amusé:
- T'avais oublié la couche-culotte pas vraie? ça m'a fait pareil la première nuit, tu t'y habitueras.
- J'étais tellement contente que le lit sois resté sec, dis-je d'une voix déçus.
- En parlant de ça, tu veux enlever ta couche maintenant ou t'attends d'avoir déjeuner?8
Je réfléchis un instant et dis:
J'ai toujours une petite envie pendant que je mange le matin, alors mouillée pour mouillée, autant que j'la garde.
- D'accord, me dis Magalie. Laisse moi déjà vérifier son état. Au pire je t'en remettrais une propre avant de descendre.Je me levais alors et je remontais ma chemise de nuit pour que mon amie puisse vérifier l'état de ma couche-culotte, comme une mère l'aurait fait avec son e n f a n t de deux ans.(Comme à cet âge les e n f a n t s savent ce tenir debout depuis déjà un bout de temps, j'imagine que c'est ainsi que procède les mamans, au moins la plupart du temps.)D'abord l'avant, en passant une main dessus, puis l'arrière de la même façon mais cette fois ci en aplatissant l'avant avec son autre main. Pour finir elle vérifia mon entre-jambe avant de dire d'un ton taquin:
- Eh ben, t'as pas fait semblant, mais je pense qu'elle peut encore tenir un peu. Allez, allons prendre ce p'tit dej.
- Et toi, t'as gardé la tienne? Demandais-je à mon amie tandis que nous descendîmes l’escalier menant au rez-de-chaussée, afin de rejoindre la cuisine.
- Non, je préfère être au sec pour manger, dit-elle en relevant sa chemise de nuit,dévoilant ainsi une couche-culotte totalement sèche.
- Tu veux dire que t'en met aussi la journée? Éveillé t'as pourtant pas de problèmes.
- Non, t'as raison, mais, j'avoue que j'aime être langée. Cette sensation de douceur, de sécurité et de confort que me procure cet emmaillotement de ouate et de plastique c'est...indéfinissable, fini par dire mon amie.- J'avoue que je commence moi aussi à apprécier d'être langée comme une petite fille, cette épaisseur moite entre les jambes me procure une sensation que je ne saurais décrire.
- Je dois avouer que depuis toute petite déjà, repris Magalie, j'avais envie de remettre des couches-culottes.
- Sans doute parce que tu faisais pipi au lit, inconsciemment tu ressentais le besoin d'être protégé, dis-je.
- J'en suis aussi venue à cette conclusion mais, plus mon énurésie ce prolongeais, plus j'avais envie de remettre des couches-culotte et,évidemment,plus j'avais envie de remettre des couches-culotte moins mon problème de pipi au lit s'arrangeait.9
- Je déteste jouer les psy mais, si je voulais émettre une hypothèse, je dirais que ton envie de remettre des couches-culotte a prolongé ton énurésie, et que ton énurésie a accru ton envie de remettre des couches-culotte. En gros, comme tu avais peur de la réaction de ta mère si tu lui en parlais, inconsciemment faire pipi au lit fut le seul moyen que tu ais trouvé pour l'inciter à t'en remettre.
- Oui, c'est plus ou moins ce que je pense depuis un moment, répondis mon amie en ce faisant une tartine de confiture. Sans succès hélas. Bon!On fait quoi aujourd'hui?
- Je sais pas. T'as une idée?
- Ciné resto, sa te tente? On commence par une balade au bord de la seine, ensuite on vas au ciné pour la première séance, resto en sortant puis balade au jardin du Luxembourg pour digérer avant de rentrer. Qu'en pense tu?
- J'en pense qu'il va falloir bien se protéger les fesses si on ne veut pas avoir de fuites, dis-je en faisant un clin-d’œil à mon amie.
Pendant quelques secondes, Magalie ne sut quelle réaction adopter. Sur son visage ce lisait un mélange d'étonnement et d’incrédulité.
- Tu voudrais être langée 24/24h? Fini-t-elle par me demander.
- Oui, pour aujourd'hui du moins. Histoire de voir ce que ça fait.
- Ok. Mais j'te préviens, pour le premier lange, comme je risque de ne pas pouvoir te changer avant le début de la séance, je vais devoir renforcer les couches-culotte avec des inserts.Ça va les tripler de volume et du coup elles risque d'être remarquées.
- Je mettrais une robe.
- Fais la maligne, mais je t'assure que tout à l'heure tu feras moins la fière.
Nous finîmes notre petit déjeuné et le moment de la douche arriva.
- T'y vas la première ou j'y vais? Demandais-je à mon amie.
- Non, vas y en premier, je pense que c'est plus urgent pour toi que pour moi, ma couche-culotte est à peine mouillée, vas donc te nettoyer pendant que je fais la vaisselle du petit dej' et que je refais le lit.
- O.k, dis-je, de toute façons, j'ai refais pipi en mangeant et je crains que ma couche-culotte ne soit arrivée à saturation, en plus elle devient de plus en plus inconfortable.
- Alors vas vite, me dis mon amie en me donnant une tape sur les fesses. Tu sauras la rouler pour la jeter?- Euh...
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- C'est comme pour un lange de bébé, mais avec quatre adhésifs au lieux de deux.
- Sauf que je ne me suis «jamais» occupé d'un bébé.
- D'accord, ça fait rien. Laisses la dans un coin de la salle de bain le temps de te laver, je te montrerais comment on fait quand tu seras à nouveau langée. Penses juste à rabattre les adhésifs vers l’intérieur pour pas que la vapeur d'eau empêche de les recoller après.
- O.k.chapitre deux:
J'allais donc à la salle de bain pour enlever ma couche-culotte de la nuit et me laver.Je décidais de laisser la porte grande ouverte pour éviter au maximum que la vapeur d'eau ne stagne à l’intérieure de la pièce. Je commençais par enlever ma chemise de nuit,que j'accrochais à un porte-serviette que Magalie avait ajouté à cet effet,lors de son emménagement,à l'un des murs de la salle de bain. Je me demandais comment j'allais enlever ma couche-culotte,vu qu'il n'y avait pas de chaise pour m’asseoir dans cette pièce de la maison, et m'allonger sur le carrelage froid de la salle de bain ne m’enchantait guère. J'optais donc pour me coller dos au lavabo et, alors que je m'avançais, je vis mon reflet dans le miroir. Je me revis alors la veille au soir,pendant ce moment d'intimité que j'avais partagé avec mon amie juste avant de me coucher,et,pour la première fois,le ridicule de ma situation m'apparut. J'avais l'air d'une gamine, ainsi seulement vêtue de ma couche-culotte à présent saturé. Je ne pu m’empêcher de rire intérieurement. Après tout, Magalie n'avais pas tors, faire pipi au lit n'étais pas un drame, alors pourquoi m'en faisais-je tout une montagne?
En me remémorant ma séance de lange de la veille, je me souvins que j'avais apprécié de me faire langer par Magalie.Cette sensation de douceur que me procurais la ouate presque collé contre ma peau. Et même mouillée ce matin, ma couche-culotte m’apportait encore un grand confort.
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Je me pris à envier Magalie, elle qui pouvait être langer vingt-quatre heure sur vingt-quatre si elle le désirait. Hier encore je pleurais presque de refaire pipi au lit, et aujourd'hui, j'aurais presque eu envie de devenir incontinente. J'aimais être langé comme un bébé, je ne saurais pas dire pourquoi, mais j'aimais ça. Je le savais, et j'avais hâte de l'être à nouveau.
J'enlevais ma couche-culotte,sans oublier de rabattre les adhésifs vers l’intérieur comme me l'avais conseillé mon amie,avant de la laisser à côté de la poubelle, puis je pris une douche rapide.
Quand je revins dans la chambre de Magalie, celle-ci m’y attendait et tout le nécessaire pour me langer était déjà prêt.
- T'es prête?
- Tu vas peut-être être étonnée mais, je suis impatiente, répondis-je.
- Installe toi sur l'alaise ma...Je ne lui laissai pas le temps de finir sa phrase. Comme la veille,je m'installais sur l'alaise et levais les fesses pour que mon amie puisse me crémer et glisser ma couche-culotte entre les jambes,non sans m'avoir copieusement talquée avant de rabattre cette dernière sur mon sexe,puis de la fermer en fixant les adhésifs.
- Une couche-culotte avec trois couches droite pour une haute absorption, me dit mon amie. ça sera difficile de ne pas voir que tu es langée.
- Oui, c'est ce que je remarque, lui dis-je. En effet, Mag c’était déjà langé, et malgré une longue jupe ample,il était impossible de ne pas ce douter de ce qu'elle portait en dessous.Je ne pense pas que nous croiserons des amis de toutes façons.
- Croise les doigts, dis Mag en souriant.En me relevant,j'eus une sensation bizarre entre les cuisses, pas désagréable mais, j'avais du mal à serrer les jambes. Pourtant, cela restait confortable. Je me regardais de face, puis de profile, et en me voyant je ne pus m’empêcher de sourire. Avec mon derrière tout rebondis par cette énorme couche-culotte j'avais vraiment l'aire d'une petite fille. Il ne me manquais que des nattes ce terminant par des nœuds rose pour compléter le tableau. J'enfilais un soutien gorge avant de retourner à la salle de bain,seulement vêtue de ma couche-culotte pour aller me démêler les cheveux, suivis par Magalie.
- Où as tu mis ta couche-culotte de la nuit ? Me demanda-t-elle une fois dans la pièce.
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- Sous le lavabo, répondis-je.
Magalie fit glisser jusqu'à elle la couche-culotte que j'avais laissé grande ouverte, puis,joignant le geste à la parole,m'expliqua comment la rouler en boule avant de la jeter.
- D'abord l'avant, dit-elle. Tu rabats les bord de chaque coté vers l'intérieur. Ensuite tu fermes la couche-culotte en rabattant l'avant vers l'arrière tout en l'aplatissant légèrement.Enfin,tu n'as plus qu'à la rouler avant de coller les adhésifs.
- En effet sa n'a pas l'air bien compliqué,dis-je à ma copine.
- Non,ça ne l'est pas. Allez, je te laisse te préparer. Je prendrais la place après.
- O.k. Ah, tu peux préparer du thé bien fort s'il te plaît?
- Toi, tu veux mouiller tes couches rapidement, dis mon amie avec un clin d’œil.
Magalie sortis de la salle de bain. Une fois mes cheveux démêlé, je retournais dans la chambre pour m'habiller.Je mis la robe la plus ample que j'avais en ma Possession et me regarda dans le miroir. Magalie avais raison, on ne pourrait pas manquer de voir que je suis langée.
J'enfilais une paire de talons semis-haut et je rejoignis mon amie à la cuisine.
- La place est libre.
- O.KMag fut très rapide et à peine 20 minutes plus tard elle était de retour à mes cotés.
- Alors, pas trop stressée? Demanda-t-elle.
- Non pourquoi?
- Je ne sais pas, tu pourrais avoir peur qu'on remarque tes couches.
- Ben ça ne manqueras pas d'arriver. De toutes façons, si on rencontre un ami, je ne serai pas la seule à être mal à l'aise.
- T'as pas tors,dit-elle en riant.Essayons de ne pas y penser et de rester le plus naturelle possible si on rencontre quelqu'un,et avec un peu de chance ça ce passera bien.Nous bûmes notre thé et allâmes nous recoiffer une dernière fois, une touche de rouge à lèvre rose pâle et nous voilà prêtes à sortir. Magalie mis quatre couches-culotte, six couche droite, un paquet de lingette et un pot de talc dans un grand sac et nous quittâmes l’appartement,
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direction le cinéma. Nous ne rencontrâmes personne à l’allée, par contre le thé fus très efficace car, nous avions à peine parcourut la moitié du chemin que déjà je mouillais abondamment mes couches. Nous choisîmes de regarder une comédie, pendant laquelle je refis pipi quatre fois. À la fin du film Magalie ce pencha vers moi pour me demander discrètement:
- T'as besoin d'être changé?
- J'sais pas, j'ai fait pipi cinq fois.
- Tu peux encore faire une ou deux fois mais ça ne tiendra pas jusqu'à la fin du repas. Pareil pour moi.Nous attendîmes d'être les derniers dans la salle pour sortir et nous nous dirigeâmes vers les toilettes. Il n'y avais personne,(et heureusement car nos couche-culottes avait au moins doublé de volume,) et nous pûmes tranquillement aller dans la cabine réservé aux handicapés. Comme je n'avais pas encore appris à me langer toute seule, Magalie commença par moi. Je me déshabillais et m’allongeais sur le carrelage froid de la cabine.Heureusement,(je ne l'avais pas vu plus tôt,) mon amie avais prévue un grand drap de bain et ce fut une bonne chose, car une fois allongé je sentais malgré tout le froid du carrelage. Une fois changées nous partîmes pour le restaurent.
Nous décidâmes d'aller dans un restaurent Italien proche des jardins du Luxembourg. Magalie commanda un pavé de saumon à la plancha sur nid d'ange et son nappage de sauce à l'Annette, quand à moi, je pris des lasagnes saumon épinard. En dessert,nous primes chacune un tiramisu à la fraise nappé d'un coulis de chocolat.- Hé bien, dis mon amie, après tous ça, ça nous fera pas de mal de marcher un peu, j'ai bien mangé. À propos, ajouta-t-elle plus bas en se penchant vers moi, tu as besoin d'être changer?
- Je sais pas, lui répondis-je, j'ai fait que deux fois mais sa serais peut-être plus prudent non?
D'autant que je ne vais pas tarder à refaire pipi.
- Pareil pour moi. Je te proposes de les finir en buvant un café, ensuite on iras ce changer avant de partir pour les jardins. J'approuvais et Magalie appela le garçon de table.
- À propos, dis-je, c'est bizarre, j'ai l'impression que j'ai du mal à me retenir depuis que nous sommes partie, et c'est la première fois que je fait autan pipi en si peu de temps.
- Ça n'a rien de bizarre, faut que j't'avoues, pour bien des gens c'est15
souvent difficile de ce faire volontairement dessus au début, encore plus en public,alors...au cas où j'ai mis un diurétique dans le thé qu'on a bus après ta douche.
- Quoi!? dis-je en écarquillant les yeux, dis moi que t'as pas fais ça?! Tu te rends compte qu'avec mes soucis actuels je commençais à me poser des questions!?- Ben désolé, mais j'ai tout préparé pendant que t'étais sous la douche, et comme le goût du thé masque le goût du médicament j'ai oublier de t'en parler. ça m'a paru une bonne idée sur le moment.
- Oui ben, la prochaine fois que t'as ce genre d'idée, essayes de m'en parler avant de la mettre en pratique. Ça m'éviteras de m'inquiéter pour rien.
- Désolé...
Magalie avais vraiment l'air désolée de sa boulette. Aussi décidais-je de la rassurer.
- Ça va, dis-je en lui prenant la main. Ton idée n'étais pas si mauvaise après tout. C'est vrai que ce matin pendant le p'tit déj', j'ai du forcer un peu sur ma chaise, pourtant j'avais vraiment très envie. C'est juste que j'aurais préféré être au courant de tes intentions, ça m'aurait évité de m'inquiéter inutilement. Tu comprends?
- Alors tu ne m'en veux pas? Dit Magalie un peu rassuré.
- Mais non voyons, lui dis-je en souriant. Excuse moi de m'être emportée, c'est juste que je déteste être mise au pied du mur.
- C'est pas grave, c'est entièrement de ma faute.
Le café arriva, une fois le serveur reparti Magalie ajouta:
- Si ça peu te rassurer, j'en ai mis un dans le mien aussi.
- Ah bon? T'as encore besoin de ça depuis le temps que tu remets des couches-culotte? m'étonnais-je.
Magalie rosie légèrement...
- Non mais, je dois avouer que j'aime bien cette sensation de perte de contrôle, comme si je redevenais une toute petite fille qui contrôle mal sa vessie.
- Et ben! ne puis-je m’empêcher de rire.Nous bûmes nos cafés tranquillement,puis nous allâmes changer nos couches.Cette fois Magalie nous mit une couche-culotte avec deux inserts,puis nous primes le chemin pour le Luxembourg. Ce que m'avait dit mon amie sur le fait d'aimer ne pas pouvoir contrôler sa vessie me titillait au plus haut point. J'avais envie d'en savoir plus.
- Magalie...Je peux te poser une question
- Te voilà bien solennelle, tout à coup, dit mon amie avec étonnement.
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Qu'est-ce-qui ce passe?Depuis quand t'as besoin de demander la permission pour me poser une question?
- C'est vrai, dis-je. Mais là c'est un peu spécial. C'est au sujet de ce que tu m'as dis tout à l'heure, quand...Quand tu m'as dis aimer ne pas pouvoir te contrôler quand...
- Quand je mouille mes couches-culotte? Termina mon amie pour moi.
- Oui. T'étais sérieuse en disant ça?
- Oui.
- Pourquoi tu aimes ça?
- J'sais pas. J'imagine que d'une certaine façon ça me rappel quand j'étais un bébé, quand je pouvais me soulager sans retenue sans me soucier des conséquences. Une sorte de régression plus ou moins inconsciente qui m'aide à me détendre, à me relaxer.
- Tu fais ça souvent?
- Oui, à chaque fois que j'en éprouve le besoin. Tous les jours en période de vacances quand je suis toute seule et le week-end, surtout en période d’examen.
- Donc, tu régresses pour déstresser...
- C'est ça, oui.
Nous continuâmes notre promenade dans le plus grand silence. Moi me posant des questions, et Magalie n'osant peut-être tout simplement pas ce confier d’avantage.Dix minutes plus tard nous arrivâmes au Luxembourg. Je fus émerveillée face à la beauté du lieux. Le palais est vraiment magnifique,(du moins vu de l’extérieur, et nous nous sommes promis de revenir pour le visiter un jour prochain, mais pour l'heure, le temps était à la digestion.) Le jardin est splendide. Nous vîmes entre autre quelques statues comme: la sculpture de Beethoven d'Antoine Bourdelle, la statue de Frédéric Le-Play, le marchand de masques par Zacharie Astruc,une réplique de la statue de la liberté,la statue de Leconte De Lisle et la statue de Verlaine.
Une brochure nous appris que pas moins de 106 sculptures était exposées dans le jardin. Au bout d'une heure nous décidâmes d'un commun accord qu'il étais temps de rentrer, car nous commencions à être fatiguée et,entre le diurétique pris dans le thé le matin et ce que nous avions bu au déjeuné,nos couches-culotte ne tarderais pas à saturer malgré les inserts.
Nous mîmes trente bonnes minutes à faire le trajet du jardin à l'appartement.
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Une fois arrivées la question de savoir qui allait être changer en premier ce posa,et Mag décida de me changer la première et de se changer ensuite, ce que, bien qu'un peu gênée qu'elle me fasse toujours passer avant elle, j'acceptais avec plaisir.
Avant de quitter la chambre pour la laisser se changer, je lui demandais à utiliser son ordi. Je me posais pas mal de questions au sujet des révélations que Mag m'avait faîte plus tôt dans l'après-midi, et j’espérais bien avoir un début de réponse grâce à notre ami à tous dans ce genre de situation, internet. Et je ne fus pas déçue!Loin de là! J'allais de surprises en surprises, comprenant que Magalie faisais partie d'une communauté connue sous le nom de age player,ou infantiliste en Français,dont les deux principales catégories étaient les adult baby, dis AB et les diaper lover, dis DL.Magalie était donc une infantiliste. Mais étais-t-elle AB ou ou juste DL?
Je découvris également qu'il existais pléthore de sites et forums ainsi que de boutiques en ligne dédiés aux AB/DL, proposant des articles plus incroyable les uns que les autres.
Comme des bodys et des grenouillères une pièce pour bébé en tailles adulte, ou encore du mobilier adapté tel que des tables à langer, des grands lits à barreaux de 1,35x1,50x2M, des poussettes elles aussi adaptée à la taille d'un adulte et même des couches-culotte pour adulte décorées comme celles des bébés...J'avais du mal à croire ce qui étais pourtant juste sous mes yeux. Quand j'y pense, redevenir un bébé ne fusse qu'un instant est assez tentant, mais je ne sais pas si je serais capable d'utiliser de tels subterfuges pour y parvenir. En revanche, ça me donnait quelques idées pour pimenter nos vacances les jours de pluie.Je sortis donc ma carte bancaire pour acheter un paquet de couches-culotte Cuddlz décoré de motifs enfantins,deux totottes,huit biberons et quatre bavoirs.Je fis également un peu de shopping sur un site de puériculture où j'achetais une boite de céréales vitaminé goût chocolat banane en poudre,un pot de lait infantile troisième âge,un pot de chocolat pour tout petit et des boissons aux fruits ressemblant à de l'oasis mais pour les tout petits également et un chaufe-biberon.Je fis ensuite le tour de quelques boutiques médicale pour trouver des culottes pour incontinence en caoutchouc,mais je n'y trouvais rien d'intéressant.
Je me mis donc en quête d'une boutique de vêtements pour ab/dl.Là encore je n'ai pas été déçue.Après quelque clics,je validais un panier virtuel dans
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lequel ce trouvait quatre culottes en caoutchouc décorée de motifs enfantins très mignon et un matelas à langer my little pony pour adulte,ainsi qu'un sac à langer bleu marine de la taille d'un grand sac de sport convertible en matelas à langer de voyage.
J’eus juste le temps de terminer mes achats et de supprimer mon historique de navigation avant d'entendre mon amie me dire derrière moi:
- J'ai refait du thé,tu en veux?
Avec plaisir,lui dis-je en me retournant vers elle.J'éteins l'ordi et je te rejoins.
- Ok.Je serais dans le salon.
A suivre...
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